Au cours de la dernière année, l'ISSP a publié plusieurs blogs de nos membres sur comment nous devons transformer la prise de décision pour relever plus efficacement les grands défis. Les sujets abordés comprennent la transformation de l'enseignement, de la formation et de l'entreprise scientifique ; comment favoriser l'équité, la diversité et l'inclusion dans la prise de décision; comment mettre en pratique de nouveaux modèles de prise de décision, ainsi que le besoin de recadrer notre façon de penser la science et la technologie dans les politiques publiques nationales et internationales. La compilation comprend également une section dédiée aux grands défis de la COVID-19 et des changements climatiques.
Directeur inaugural et Membre principal, ISSP
Professeur agrégé, Département de géographie, Université d'Ottawa
Alors que j'entame les trois derniers mois de mon quinquennat, j'aimerais faire le point et décrire la planification de la transition. J'ai devant moi nos quatre premiers rapports annuels. Je pense que leur titre décrit plutôt bien l'évolution de l'ISSP: Premières étapes, Établir un réseau, Établir de solides fondations et Vers un programme d'études supérieures.
Professionnelle-en-résidence, ISSP
Ancienne sous-ministre adjointe fédérale au CRSNG, RNCan et au département de finances
Certains des scientifiques les plus brillants du monde sont des canadiens. Prenez par exemple Gilles Brassard en cryptographie quantique, Paul Corkum en attophysique et Barbara Sherwood-Lawlor en sciences de la terre qui sont des leaders internationaux dans leurs domaines respectifs. Il y a peu de doute que les Canadiens performent de manière efficace étant donné nos ressources modestes. La question est: soutenons-nous efficacement nos meilleurs talents pour leur permettre de collaborer avec les meilleurs chercheurs à travers le monde, et pour permettre à nos entreprises de réaliser la valeur de notre investissement de recherche?
Directeur inaugural et membre du groupe principal, ISSP
Professeur agrégé, Département de géographie, Université d'Ottawa
Même les penseurs holistiques doivent parfois élargir leur champ d’application. C’est mon impression de la première conférence annuelle sur la gouvernance des technologies émergentes : droit, politique et éthique (à Phoenix, du 20 au 21 mai 2013). Cet événement international a été organisé par le Center for Law, Science and Innovation à l’Université d’État de l’Arizona, et l’ISSP faisait partie des quatorze organisations parrains. J’espère que cela deviendra un événement annuel – ce fut, sans aucun doute, un grand succès.
Le mercredi 15 juin 2022, de 8 h 30 à 17 h, l'ISSP et Énergie positive organiseront une conférence à laquelle participeront divers conférenciers et représentants de l'industrie pour discuter des résultats de nos dernières recherches. Cette conférence aura lieu en personne à l'Université d'Ottawa et sera offerte virtuellement.
Le jeudi 12 mai, à 12 h 00, l'Institut pour la science, la société et la politique publique a accueilli le professeur Louis Simard, chercheur affilié de l'ISSP et professeur associé à la faculté des sciences sociales en administration publique, uOttawa, pour discuter de l'acceptabilité sociale et de la justice distributive.
Le mercredi, 20 avril 2022, à 16h30, l'Institut de recherche sur la science, la société et la politique publique à l'Université d'Ottawa et l'Institute for International Science and Technology Policy à l'Université George Washington ont été ravis d'accueillir Dr. Mona Nemer, Conseillère scientifique en chef du Canada, dans le cadre de l'événement commémoratif Bromley 2022.
Le jeudi 31 mars, à 12h00, l'Institut de recherche sur la science, la société et les politiques publiques a accueilli la Prof. Eda Kranakis, Chercheuse affiliée de l'ISSP, ainsi que Professeure titulaire, Département d'histoire, Faculté des arts, uOttawa, pour discuter les pratiques de recherche, les conceptions de propriété intellectuelle, les objectifs commerciaux et la rhétorique scientifique stratégique de Monsanto.
Le mercredi 15 juin 2022, de 8 h 30 à 17 h, l'ISSP et Énergie positive organiseront une conférence à laquelle participeront divers conférenciers et représentants de l'industrie pour discuter des résultats de nos dernières recherches. Cette conférence aura lieu en personne à l'Université d'Ottawa et sera offerte virtuellement.
Une nouvelle étude du programme Énergie positive de l'Université d'Ottawa examine le travail de la Commission de l'écofiscalité du Canada, une organisation qui visait à dépolitiser le débat sur la tarification du carbone au Canada en utilisant un outil spécifique : insuffler au débat des recherches et des preuves non partisanes et rigoureuses sur le plan académique.
Cette étude d'Énergie Positive explore les limites de la recherche d'un consensus sur l'énergie et le climat - en particulier les limites qui découlent de la politique partisane. Elle identifie les principaux facteurs et événements qui ont contribué à la polarisation de certaines questions énergétiques et climatiques selon des lignes partisanes, et offre des conseils aux décisionnaires qui cherchent à naviguer dans des contextes polarisés sur la voie du "net zéro" d'ici 2050.
Des nouveaux résultats du sondage d'Énergie positive et Nanos Research évaluent si les Canadiens pensent qu'il existe un accord public sur une gamme de questions climatiques et énergétiques, y compris l'atteinte des objectifs internationaux d'émissions du Canada, les taxes sur le carbone, l'avenir de la production de pétrole et de gaz naturel et les pipelines.
Fruit de dix-huit mois d’engagement auprès de nos membres, il est ancré dans la vision ambitieuse d’aider le Canada à transformer le processus décisionnel pour relever les grands défis de notre temps. Le plan énonce de multiples objectifs, activités et résultats cibles de recherche, d’enseignement et de sensibilisation pour réaliser cette vision.
L'article d'opinion de Michael Cleland, Professionnel en résidence, Énergie positive et de la Prof. Monica Gattinger, Présidente, Énergie positive et Directrice, ISSP, pour Options politiques.