Quels sont les rôles et responsabilités respectifs des décideurs politiques, des régulateurs, des tribunaux, des municipalités et des gouvernements autochtones en matière de prise de décision en énergie et climat? Articuler et renforcer clairement ces relations est l'un des facteurs les plus cruciaux mais sous-étudiés qui façonnent notre avenir énergétique et climatique collectif. Monica Gattinger, PhD revient sur le podcast pour discuter de cette question cruciale, qui forme la base d'un nouveau courant de recherche à Énergie positive.
Marc Saner, Membre principal et Directeur de l'axe de recherche Avis scientifique de l'ISSP, ainsi que Professeur titulaire au département de Géographie, Environnement et Géomatique, Faculté des arts, Université d'Ottawa, cherche un assistant de recherche pour étudier le fonctionnement des conseillers scientifiques ministériels.
Le montant total du contrat est d'environ 5 000 $ aux tarifs des diplômés du CRSH. Vous devez être un étudiant diplômé de l'Université d'Ottawa, de préférence un étudiant au doctorat. La langue de travail de ce projet est l'anglais et devrait être réalisé entre février et juin 2021.
Veuillez envoyer avant le lundi 8 février (midi) les informations suivantes à msaner@uottawa.ca: (1) le titre ou le thème de votre travail de thèse actuel et le nom de votre directeur de recherche; (2) votre bref CV; (3) une brève liste de vos autres droits payés actuels; (4) la raison pour laquelle vous pensez que vous êtes un bon partenaire pour ce travail.
Félicitations à la professeure Josephine Etowa, Chercheuse affiliée à l’ISSP et Professeure titulaire à l’École des sciences infirmières, Faculté des sciences de la santé, Université d’Ottawa, pour être la récipiendaire de la Chaire de recherche du Réseau ontarien de traitement du VIH (OHTN) sur la santé des femmes noires et les soins du VIH.
Quel est l'appétit des Canadiens pour l'action climatique dans le contexte de la COVID-19? Une nouvelle série de travaux d'enquête de Positive Energy et Nanos Research suggère qu'une majorité de Canadiens disent que c'est le bon moment plutôt que le mauvais pour être ambitieux face au changement climatique, même s'il y a des coûts pour l'économie.