Au cours de la dernière année, l'ISSP a publié plusieurs blogs de nos membres sur comment nous devons transformer la prise de décision pour relever plus efficacement les grands défis. Les sujets abordés comprennent la transformation de l'enseignement, de la formation et de l'entreprise scientifique ; comment favoriser l'équité, la diversité et l'inclusion dans la prise de décision; comment mettre en pratique de nouveaux modèles de prise de décision, ainsi que le besoin de recadrer notre façon de penser la science et la technologie dans les politiques publiques nationales et internationales. La compilation comprend également une section dédiée aux grands défis de la COVID-19 et des changements climatiques.
Étudiante à la maîtrise en politique internationale des sciences et de la technologie, Université George Washington
L'événement commémoratif Bromley réunit des étudiants diplômés des États-Unis et du Canada afin d'échanger des idées sur les politiques scientifiques et technologiques, d'examiner les différences entre les politiques des deux pays et d'apprendre des conseillers principaux en politiques des deux pays. J'ai eu l'honneur de présenter de brèves remarques à la suite de la conférence principale de Dr Nemer sur le rôle complexe des avis scientifiques dans l'élaboration des politiques. Le texte qui suit est une adaptation de mes remarques.
Candidate au doctorat en biochimie, spécialisation en génétique humaine et moléculaire, Université d'Ottawa
Mon équipe au Réseau de politique scientifique d'Ottawa (OSPN) et moi avons eu l'occasion de participer à l'événement commémoratif Bromley de cette année en tant qu'étudiants. Il s'agit d'un événement conjoint réunissant des stagiaires et des professeurs intéressés par la politique scientifique de l'Université d'Ottawa (uOttawa) et de l'Université George Washington (GWu). Après avoir organisé cet événement de façon virtuelle au cours des deux dernières années en raison de la pandémie, il s'agissait de notre premier retour en personne à l'Université d'Ottawa.
Ce blog résume la conférence principale donnée par la conseillère scientifique en chef du Canada, Mme Mona Nemer, lors de l'Événement commémoratif Bromley 2022. Elle a mis l'accent sur le rôle complexe des conseils scientifiques dans l'élaboration des politiques, les relations scientifiques entre le Canada et les États-Unis, l'évolution des conseils en matière de politique scientifique et le rôle des jeunes scientifiques.
Le mercredi 15 juin 2022, de 8 h 30 à 17 h, l'ISSP et Énergie positive organiseront une conférence à laquelle participeront divers conférenciers et représentants de l'industrie pour discuter des résultats de nos dernières recherches. Cette conférence aura lieu en personne à l'Université d'Ottawa et sera offerte virtuellement.
Le jeudi 12 mai, à 12 h 00, l'Institut pour la science, la société et la politique publique a accueilli le professeur Louis Simard, chercheur affilié de l'ISSP et professeur associé à la faculté des sciences sociales en administration publique, uOttawa, pour discuter de l'acceptabilité sociale et de la justice distributive.
Le mercredi, 20 avril 2022, à 16h30, l'Institut de recherche sur la science, la société et la politique publique à l'Université d'Ottawa et l'Institute for International Science and Technology Policy à l'Université George Washington ont été ravis d'accueillir Dr. Mona Nemer, Conseillère scientifique en chef du Canada, dans le cadre de l'événement commémoratif Bromley 2022.
Le jeudi 31 mars, à 12h00, l'Institut de recherche sur la science, la société et les politiques publiques a accueilli la Prof. Eda Kranakis, Chercheuse affiliée de l'ISSP, ainsi que Professeure titulaire, Département d'histoire, Faculté des arts, uOttawa, pour discuter les pratiques de recherche, les conceptions de propriété intellectuelle, les objectifs commerciaux et la rhétorique scientifique stratégique de Monsanto.
Le mercredi 15 juin 2022, de 8 h 30 à 17 h, l'ISSP et Énergie positive organiseront une conférence à laquelle participeront divers conférenciers et représentants de l'industrie pour discuter des résultats de nos dernières recherches. Cette conférence aura lieu en personne à l'Université d'Ottawa et sera offerte virtuellement.
Une nouvelle étude du programme Énergie positive de l'Université d'Ottawa examine le travail de la Commission de l'écofiscalité du Canada, une organisation qui visait à dépolitiser le débat sur la tarification du carbone au Canada en utilisant un outil spécifique : insuffler au débat des recherches et des preuves non partisanes et rigoureuses sur le plan académique.
Cette étude d'Énergie Positive explore les limites de la recherche d'un consensus sur l'énergie et le climat - en particulier les limites qui découlent de la politique partisane. Elle identifie les principaux facteurs et événements qui ont contribué à la polarisation de certaines questions énergétiques et climatiques selon des lignes partisanes, et offre des conseils aux décisionnaires qui cherchent à naviguer dans des contextes polarisés sur la voie du "net zéro" d'ici 2050.
Des nouveaux résultats du sondage d'Énergie positive et Nanos Research évaluent si les Canadiens pensent qu'il existe un accord public sur une gamme de questions climatiques et énergétiques, y compris l'atteinte des objectifs internationaux d'émissions du Canada, les taxes sur le carbone, l'avenir de la production de pétrole et de gaz naturel et les pipelines.
Fruit de dix-huit mois d’engagement auprès de nos membres, il est ancré dans la vision ambitieuse d’aider le Canada à transformer le processus décisionnel pour relever les grands défis de notre temps. Le plan énonce de multiples objectifs, activités et résultats cibles de recherche, d’enseignement et de sensibilisation pour réaliser cette vision.
L'article d'opinion de Michael Cleland, Professionnel en résidence, Énergie positive et de la Prof. Monica Gattinger, Présidente, Énergie positive et Directrice, ISSP, pour Options politiques.